
LES NEURONES MIROIRS UN PAS IMPORTANT POUR L’AUTISME
Les neurones miroirs désignent une catégorie de neurones du cerveau qui présentent une activité aussi bien lorsqu’un individu (humain ou animal) exécute une action que lorsqu’il observe un autre individu (en particulier de son espèce) exécuter la même action, d’où le terme miroir.
En neurosciences cognitives, ces neurones miroirs sont supposés jouer un rôle dans des capacités cognitives liées à la vie sociale notamment dans l’apprentissage par imitation, mais aussi dans les processus affectifs, tels que l’empathie.
Les neurones miroirs sont considérés comme une découverte majeure en neurosciences. Si, pour certains chercheurs, ils constituent un élément central de la cognition sociale (depuis le langage jusqu’à l’art, en passant par les émotions et la compréhension d’autrui), pour d’autres, ces conclusions restent très hypothétiques étant donné l’absence de preuves directes concernant le rôle de ces neurones dans ces processus psychologiques.
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Rôle des neurones miroirs un des importants est l’empathie et l’émotivité
Un certain nombre de chercheurs comme Frans de Waal, Jean Decety et Vittorio Gallese ont proposé que les neurones miroirs jouent un rôle important dans l’empathie
C’est-à-dire dans la capacité à percevoir et reconnaître les émotions d’autrui, notamment sur la base du fait qu’un système miroir semble exister pour les émotions
Par exemple, la partie antérieure du lobe de l’insula, est active aussi bien quand la personne éprouve du dégoût que lorsqu’elle voit quelqu’un exprimant du dégoût.
JE VOIE VOMIR MON SYSTME EMPATHYQUE ME FAIT AVOIR ENVIE DE VOMIR OU AU MOINS AVOIR DES NAUSEES
L’interprétation de ces données est donc que le système miroir des émotions permet de simuler l’état émotionnel d’autrui dans notre cerveau et donc de mieux identifier les émotions éprouvées par les individus de notre entourage.
Néanmoins, ces interprétations sont très débattues car le système miroir mis en évidence pour les émotions est très différent de celui qui a été identifié chez le singe, en utilisant des actions motrices. Établir un lien entre ces deux systèmes reste donc très spéculatif.
MON APPRECIATION:
CE QUI ME TOUCHE LE PLUS LA MISE EN PRATIQUE POUR LES ENFANTS AUTISTE
Des anomalies du fonctionnement du système miroir auraient été retrouvées chez des autistes
IL S’AGIRAIT QUE N’ETANT PAS ACTIVÉES ELLES NE FONT PAS SON RÔLE D’IMITATRICES AINSI COMME CELLE DE
L’ EMOTIVITE
Donc de même que les primates que la mimique non représentative n’est pas compréhensible par eux c’est dire :
Devant un singe vous faite la mimique de manger quoi que se soit, lui il restera passif et sans prêter attention car les neurones miroirs ne prennent aucune empathie envers l’action d’imitation parce qu’il ne comprend la mimique sans représentation visuelle de l’action
Mais par contre si vous faites le même geste avec un fruit une banane le singe activera les neurones miroirs de l’empathie et activera a faire de ses neurones miroirs l empathie du geste
Cela veut dire que si le geste ne montre pas l’intention visuelle de l’action les neurones miroirs ne bougeront pas car il ne développe pas l action du fait
Par contre les neurones miroirs sont capables de prévoir l’intentionnalité et prédispose l’action
Exemple : un stylo sur une table et une feuille à côté réveillera l’intentionnalité de la supposition que l’action suivante sera celle de prendre le stylo et écrire sur la feuille
Car ils sont présents les éléments qui vont activer les neurones miroirs de l’empathie disons : je sais qu’il va prendre le stylo et après il va écrire et il va me le lire ou me le montrer
Sans oublier les neurones miroirs des émotions qui reste aussi dans le mêmes aspect de l’apprentissage
Disons serais ce que certains pensent que c’est la Voyance , et c’est simplement que certains Êtres Humains ont cette fonction neuronales de leurs miroirs plus sensibles que d’autres
Il ne faut sous aucun cas oublier les maîtres du conditionnement qui est celui des théorie des BÉHAVIORISTES qui montre déjà un principe de ces théories
LE BÉHAVIORISME
Les fondateurs du mouvement béhavioriste :
• Thorndike
• Watson
• Skinner
Le béhaviorisme ne s’intéresse pas aux questions philosophiques. Ce mouvement souhaite faire de la psychologie une science expérimentale et conditionner le sujet par des stimuli, des réponses externes à lui par des comportements.
La première expérimentation monographique sur l’apprentissage de l’animal est réalisée par Edward Thorndike en 1898 et elle est appelée
: L’intelligence animale. Le béhaviorisme radical est énoncé par J. Watson en 1913. Quand on parle de comportement, on entend tout mouvement, activité ou manifestation observables et mesurables d’un organisme. Et le béhaviorisme s’intéresse à ce comportement. Ce dogme domine la psychologie de 1920 à 1960.
Pour moi celui que j ai bien plus dans mes idées en travaillant avec des enfants autistes serait Guthrie
Le conditionnement en contiguïté
Guthrie
Edwin Ray Guthrie (1886-1959) est un psychologue américain qui soutient qu’une combinaison de stimuli accompagnée d’un mouvement tendra, si répétée, à provoquer le même mouvement, la même réponse. Ce qui signifie qu’un individu agissant d’une certaine façon dans une situation donnée pour résoudre un problème aura tendance à faire la même chose, à agir de la même façon. De fait, le comportement final est causé par la situation totale.
En somme, pour Guthrie l’apprentissage se fait par une seule action sous l’influence de la masse des stimuli présents au moment de cette action, qu’elle soit bonne ou mauvaise.
La définition de l’apprentissage selon Guthrie se traduit ainsi : il s’agit d’une adaptation du comportement résultant de plusieurs stimuli pas toujours identifiables, mais pouvant avoir une influence sur la réponse (DUBÉ, 1990). L’apprentissage dépend de la contiguïté des stimuli et de la réponse, du fait qu’ils se produisent ensemble.
Le lien stimuli-réponses est important dans une action en contiguïté dans le temps.
Il avance également que s’il y a absence d’interférence dans l’apprentissage, il n’y a pas d’oubli.
La motivation est importante dans l’amélioration de la maintenance des stimuli en gardant l’organisme actif
jusqu’à ce que le but soit atteint.
D’après Guthrie, le meilleur moyen d’inhiber une habitude ou un comportement consiste à trouver les stimuli qui incitent à cette action et à décider d’une réponse différente en présence de ces stimuli.
Nul besoin de renforcement ou d’une bonne conduite pour apprendre et retenir. Toutefois, il importe qu’il y ait présence de l’union entre plusieurs stimuli.
Une programmation efficace serait celle de :
-Le conditionnement de l’environnement
-L’échange avec renforcement
-Apprentissages de la communication visuelle gestuel et verbal
Donc en partie ses deux seraient les deux principales qui seraient les éducatrices principales des neurones de miroirs des enfants autistes
Apres et aussi importantes toutes les thérapies de activations motrices des méthodes conductrices
Et après sans limite toutes les thérapies d’éveil
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